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Agriculture - Forêts


Un pionnier de l'Agriculture biologique : Sir Howard

Sir Albert Howard (1873-1947)

Botaniste britannique, sir Albert Howard a travaillé pendant 25 ans sur les questions agricoles en Inde. Il a notamment dirigé l’Institute of Plant Industry à Indore. Considéré comme le père de l’agriculture biologique moderne, il a fortement inspiré Lady Eve Balfour ainsi que le mouvement d’agriculture biologique américain. Convaincu qu’un bon humus renforce la fertilité du sol et par conséquent garantit la santé des plantes, du bétail et du genre humain, Howard concentre ses travaux sur le développement d’un compost idéal. Inspiré par la philosophie indienne, il élabore sa « grande loi du retour », qui édicte la nécessité d’un retour de tous les déchets d’origine biologique à la nature, étape indispensable pour clore le « cycle de la vie ». À partir des années trente, sir Albert Howard devient le principal opposant aux engrais chimiques. Il affirme : « Le long empoisonnement de la vie du sol par des engrais artificiels est l’une des pires calamités qui aient pu arriver à l’agriculture et à l’humanité. » Dans son ouvrage principal, Un testament agricole, il exprime une critique de la société imprégnée d’une nostalgie réactionnaire d’un monde révolu. Il consacre ainsi un chapitre entier à « l’intrusion de la science », conséquence de la révolution industrielle et de l’introduction des machines à vapeur. Pour lui, « une population rurale heureuse et satisfaite est le pilier le plus important pour la protection de notre patrie dans l’avenir ». Or, ajoute-t-il, la recherche agronomique, à la fin du XIXe siècle, a « été conçue pour faire du paysan un bandit plus habile, plutôt qu’un producteur de meilleurs aliments ».

 


04/05/2017
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Maires de France (mémento) L'agriculture 3 -

Maires de France (mémento) L’agriculture – 3 –

 

Savoir et pouvoir. L’agriculture durable et l’agriculture conventionnelle.

 L’agriculture durable tiré du livre d’André Pochon « Les sillons de la colère » Edts La découverte

Tirés des enseignements du biologiste Jean Boucher † et de l’auteur du document.

 

Les fondamentaux en agriculture biologique et agriculture durable

Selon A. Pochon, un sol pauvre en calcium, phosphore, magnésium, potassium, éléments majeurs de la composition minérale des plantes produit peu ; les cultures végètent et les plantes caractéristiques de ces sols y prolifèrent.

Jean Boucher considère que du double équilibre suivant, découle la santé des sols, des plantes, de l’homme.

1 – Equilibre  organique - Restitution au sol des déchets animaux et végétaux par un compostage de paille et de déjections animales dans un rapport selon Lord Howard de C/N = 33.- Condition absolue de matière carbonée (paille) par rapport à l’azote (déjections) de réussite de l’assainissement-dynamisation de la matière organique par le compostage.

2 – Equilibre minéral -  Fondé par les travaux de Delbet sur le rôle protecteur et curatif du magnésium (1915). Le pharmacien Robinet constate que les sols pauvres en magnésie (Nord, Bassin Parisien) ont les plus fortes densités de cancers.  

Le rapport Magnésium/Potassium doit être de 500/200 et non 140/200 rapport de l’agronomie conventionnelle.

  • Potassium dominant : (Agro conventionnelle) - 200K2O/140MgO > Energie destructrice – Antagoniste du magnésium protecteur – Baisse de résistivité – Hydrophobie (aridité) – Aggravation de la sensibilité aux parasites.
  • Magnésium dominant : (Agro bio) 500/200 - Vitalité – Densité – Tonus – Charge énergétique – Affinité eau.

Suivant Jean Boucher ingénieur et biologiste le magnésium est l’élément protecteur, clé de voûte du monde vivant. Il est l’activateur d’innombrables enzymes et biocatalyseurs (chlorophylle). Régulateur indispensable du métabolisme des autres cations : le fixateur du calcium osseux, l’éliminateur du calcium pathologique des viscères et articulations. Enfin, il est le régulateur du potassium sanguin dont dépend l’activité cardio-vasculaire.

La ration quotidienne de l’homme est, aujourd’hui, inférieure à 300 mg. Pour entretenir la santé elle devrait être de l’ordre de 600 à 900 mg. Quantité possible dans une alimentation de haute qualité biologique. Trop de problèmes cardiaques pour ne point prendre au sérieux les avertissements de Jean Boucher.

 Des plantes déficientes en phosphore montrent un retard de croissance (réduction de la croissance des cellules et des feuilles, de la respiration et de la photosynthèse. Utiliser le Kulmaphos, super-phosphate sans plâtre. Le broyat d’ossements devrait convenir car l’homogénéisation s’effectue avec l’équilibre C/N.

André Pochon, célèbre agriculteur par ses livres, et ses 6 points clés de l’agriculture durable :

  • Equilibre des écosystèmes, sol, plantes et animaux,
  • Bonne rotation des cultures (assolement) sur l’exploitation agricole (lutte contre les mauvaises herbes et les maladies, telle la pyrale du maïs),
  • Plantes adaptées au sol et au climat,
  • Utilisation de fumier (composté de préférence) proscrire le lisier trop déséquilibré entraînant bon nombre de problèmes, listéria par exemple.
  • Utilisation de l’herbe comme alimentation de base des herbivores. (moins bien coûteux que Colza importé).
  • Priorité donnée aux investissements productifs (semences et animaux sélectionnés permettant d’améliorer la production.

Autant A. Pochon, que Jean Boucher que les Professeurs Delbet et Vincent et de nombreux autres, Joseph Favier et Vilain, savent pertinemment d’où proviennent la listéria, la salmonellose pour ne citer qu’elles. Ils ont bien montré que l’absence de germe de blé dans la farine diminuaient notablement les défenses immunitaires du corps, que les divers traitements phytosanitaires étaient la source de nombreux cancers et maladies diverses facilement évitables, que ces ajouts étaient loin d’être nécessaire, voire inutile si la composition des sols était parfaitement équilibrée d’une façon naturelle. [1]

Savons-nous par exemple que la maladie de la vache folle venait de produits organochlorés, produits qui projetés sur les céréales, détruisent le système nerveux des charançons ? L’ingénieur agronome Anglais, Mark Purdey a payé de sa vie cette découverte, après études approfondies. Pourquoi un tel silence : Parce que l’on ne voulait pas porter tort aux industriels de l’agro-alimentaire. Les maladies des plantes ne sont que les conséquences de nos ignorances, ou de la désinformation, en tout cas des déséquilibres organiques ou minéraux. Plantes, animaux et humains savent fort bien se défendre de toute agression si leurs défenses immunitaires sont performantes.

 

[1] Ce document a été élaboré par des membres du Mvt Rebâtir la France afin de concourir à redonner à l’agriculture ses lettres de noblesse, son efficacité, sa rentabilité et son pouvoir de restituer l’équilibre physiologique des sols, plantes, animaux et humains. Le document sur les mesures politiques en agriculture, élaborées par le Gal Tauzin, ne figure pas dans ce document.

 


04/05/2017
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Autour de la réunion sur la chenille processionnaire du mercredi 1 février 2017 à 18 h à Serres 05700 - Salle des fêtes Lucien Sallée.

 

 

Voici la façon (personnelle, inspirée par le Professeur Louis-Claude Vincent et ses biologistes avec le procédé scientifique irréfutable, dit de la Bioélectronique Vincent), de régler et décimer ces satanés chenilles.

 

Résumé de cette stratégie :

 

1 - Tout corps sain (animal ou humain) à des mesures bioélectroniques chiffrées (mesures faites sur le sang) milieu « neutre » (environ 7,10 acido/basique et 21 d'oxydo-réduction.

Par la même occasion, je vous signale que cette technique scientifique a disparu de la plupart de nos cabinets médicaux et vétérinaires. Une disparition qui n’est pas un hasard car elle dévoilait les relations étroites entre l’emploie des molécules de synthèse et l’apparition de certaines maladies comme l’encéphalopathie spongiforme bovine, la tremblante du mouton, dans le monde animal, puis humain, comme le chikungunya, la dengue. Quelques exemples seulement.

 

2 - Si vous voulez perturber l'organisme de l'insecte au point de le supprimer il faut et il suffit de choisir un produit naturel ayant des coordonnées à l'opposé de la bonne santé : par exemple fortement basique et oxydé (8/28 expl). Exemple de la maladie du charbon, expérience de Pouilly le Fort, où le bichromate de potassium à l’opposé (bio électroniquement) du charbon permit à un acolyte de Pasteur de neutraliser cette maladie. « 12 balles pour un véto » d’Henry Quiquandon Dr Vétérinaire.

 

3 - Par synergie, on peut aggraver l'action du produit par adjonction d'un autre produit naturel, et diverses opérations particulières rendant le produit hautement actif. (Domaine des biochimistes).

 

4 - On effectue des essais en laboratoires sur chenilles, avec faune et flore. Une fois reconnu l'efficacité du produit, sans conséquence notable sur la faune et flore, on balance sur les forêts envahies par les chenilles ce produit par hélicoptère.

 

5 - Ne point utiliser de molécules de synthèse pour empoisonner la faune et la flore, être prudent même dans l'emploi de molécules naturelles (bien qu'il n'y ait pas rémanence). D'où l'importance du dosage et la multiplicité des essais en laboratoires.

 

6 - Je ne prétends pas avoir réglé le problème pour autant. Je présente ma tactique. Aux spécialistes d'expérimenter cette méthode qui me semble réaliste mais améliorable nettement. Des recherches par un pharmacien belge à l’aide de haute dilution permit l’éradication du Varroa (Expérimentation en laboratoire et chez quelques apiculteurs). Pourquoi ce procédé ne fut-il pas appliqué, connu !

 

7 - Si l'INRA n'avait pas par erreur inversé les rapports Magnésium/Potasse, l'entrée de la chimie n'aurait jamais eu lieu dans nos champs et forêts. Les prédateurs seraient tellement plus nombreux. Destruction de la vitamine E, par ces produits du diable ! Dixit le Dr Vétérinaire Henry Quiquandon. Il n’est d’ailleurs pas le seul.

Combien de chercheurs ont rejeté les dogmes Pasteuriens, tels le monomorphisme, la contagion, la panspermie atmosphérique, l’asepsie des organismes vivants. Les professeurs A. Béchamp, Jules Tissot et bon nombre de biologistes comme Galippe , Frémy, Portier. Inutile d’insister, plusieurs livres attestent des actions délétères d’un Pasteur, simple chimiste. Non seulement il fut un plagiaire indécent, mais a sur la conscience des dizaines de morts avec son « fameux vaccin contre la rage ». Sans faux témoignages de ses assistants, il aurait pu passer en Cour d’Assises risquant la peine de mort. (Les vérités indésirables, volume I : Comment on falsifie l’histoire de Philippe Decourt , membre de l’Académie Internationale de la Médecine, puis Dr Eric Ancelet : Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique, préfacé par le Dr Jean Elmiger et enfin le neveu de Pasteur très critique envers son oncle. Je n’ai pas les coordonnées de son livre. Je n’oublie pas le Dr Quiquandon.

Voilà un petit résumé de ce que m’ont appris mes expériences, mes relations rapprochées aves divers chercheurs, ingénieurs agronomes, médecins et vétérinaires, mes incessantes lectures. Le désir de ne pas subir la dictature des Cartels. Je ne suis pas le seul, sachez-le.

Jacques-Henri Daudon – jacques.daudon@orange.fr - [1]

 

[1] Académie de Défense des Etres Humains – Ne pas abandonner sur la voie publique -

 


12/03/2017
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